Avocat victimes erreur médicale Nantes - La Roche sur Yon - Bordeaux
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Tél : 02 51 05 38 23
Quel est le rôle de votre avocat suite à un accident médical ?
Jacques SIRET est spécialisé pour tout dommage corporel
Faute d’un professionnel de la santé, infection nosocomiale, erreur thérapeutique, contamination, vaccination…
FAUTE D'UN PROFESSIONNEL
– Négligence ou imprudence
– Défaut d’information du patient
– Erreur grossière de diagnostic
– Erreur de traitement
– Erreur technique
ALEA THERAPEUTHIQUE
– Un aléa thérapeutique est un accident médical non fautif
– La victime d’un aléa thérapeutique ne bénéficie pas d’une indemnisation de plein droit :
– Le dommage doit atteindre un certain degré de gravité :
– un taux d’incapacité supérieur à 24%
– ou un arrêt temporaire des activités professionnelles
– ou un déficit fonctionnel temporaire) supérieur à un taux de 50 % pendant 6 mois consécutifs ou 6 mois non consécutifs sur 12 mois
Ou plus exceptionnellement :
– l’inaptitude définitive à exercer son activité professionnelle
– ou des troubles particulièrement graves dans les conditions d’existence du patient
PRODUIT MEDICAL DEFECTUEUX
– Un produit est défectueux dès lors qu’il n’offre pas la sécurité à laquelle on peut légitimement s’attendre
– Le défaut du produit de santé peut être un défaut de fabrication, d’évaluation des risques, défaut d’information
– La loi du 19/5/1998 a transposé en droit français la directive communautaire du 25/07/1985 sur la responsabilité du fait des produits défectueux.
INFECTIONS NOSOCONIALES
– Le régime de réparation applicable, tant dans les établissements privés que publics, est défini par les dispositions de l’article L 1142-1 du Code de la santé publique
– Lorsqu’il s’agit d’infection nosocomiale, il est souvent inenvisageable pour le patient d’arriver à prouver la faute qui est à l’origine de l’infection.
– La cause est souvent indéterminée, et lorsque l’on arrive à cerner la cause, il est quasiment impossible de prouver cette cause résulte d’un comportement fautif.
– La difficulté technique consiste à trouver la faute qui est à l’origine de l’infection.
– Il ne suffit pas de prouver qu’il existe un lien de causalité entre un dommage et un fait, il faut encore prouver que le fait d’origine est une faute.
CONTAMINATION
– Si vous avez contracté le virus de l’hépatite C à la suite d’une transfusion de produits sanguins, il existe une nouvelle procédure amiable, entrée en vigueur au 1er juin 2010,
– Elle a pour but de simplifier et accélérer la procédure d’indemnisation des victimes d’hépatite C post-transfusionnelle
– L’Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux (ONIAM) est désormais chargé de cette indemnisation amiable
– En cas d’échec de la procédure amiable, il faudra saisir la juridiction administrative.
Vous pouvez agir en vue d’obtenir la réparation des préjudices et/ou la sanction du mis en cause.
La voie amiable permet d’obtenir une indemnisation rapide et peu couteuse. Toutefois, l’indemnisation sera plus faible que celle allouée par les tribunaux.
La voie contentieuse, procédure civile ou administrative permet de faire reconnaître par les tribunaux la responsabilité du mis en cause et d’obtenir l’indemnisation des préjudices
la procédure pénale a pour objet de sanctionner le responsable du fait susceptible de revêtir une qualification pénale
La voie disciplinaire, une sanction peut être retenue à l’encontre du médecin mis en cause
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Avocat victimes erreur médicale Nantes – La Roche sur Yon – Bordeaux
Jacques Siret, avocat en Pays de Loire depuis plus de 40 ans, est spécialisé dans le Droit du dommage corporel.
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